Trois prêtres et cinq religieuses méditent, au Kenya, sur le péché
social et les structures injustes. Ils montrent, entre autres,
comment la Banque mondiale et le Fonds monétaire international sont
plus intéressés au profit qu'aux personnes. Ils insistent sur les
effets pervers, en Afrique, de la globalisation. Ils se réjouissent
de ce que le combat pour la justice soit officiellement reconnu
comme dimension constitutive de l'évangélisation. Ils mettent leur
espoir dans les «petites communautés chrétiennes». Ils s'attardent
enfin sur le problème spécifique de la libération des femmes,
spécialement des femmes réfugiées. - P.-G.D.