La seconde partie se consacre au Dieu de la révélation, Dieu vivant, Père, Fils et Esprit. Elle précise le contenu de la croyance en trois Personnes, qui ne sont qu'une seule divinité et ne se distinguent que comme relations subsistantes. Elle examine les noms (propres ou appropriés) des Personnes et l'intelligence que nous pouvons avoir de la génération éternelle du Fils et de la procession de l'Esprit. Elle décrit les missions visibles et invisibles des Personnes divines. Une dernière partie est consacrée aux traditions grecque et latine sur la procession du Saint Esprit (la question du filioque) et présente le document du 8 septembre 1995 clarifiant officiellement ce point. Nous nous demandons toutefois si l'A. a bien montré le sérieux de la difficulté de nos frères orientaux. Sauf erreur et au delà des querelles mesquines, ce que ceux ci reprochent fondamentalement à la position latine, n'est ce pas d'avoir introduit dans une proclamation de la foi (le Credo) un élément dont il n'est pas sûr qu'il soit révélé et dans lequel ils voient, non sans raison, un theologoumenon, la conclusion d'un raisonnement théologique basé sur la manière latine d'aborder le problème à partir de l'unité de la nature divine? - L. Renwart, S.J.
La seconde partie se consacre au Dieu de la révélation, Dieu vivant, Père, Fils et Esprit. Elle précise le contenu de la croyance en trois Personnes, qui ne sont qu'une seule divinité et ne se distinguent que comme relations subsistantes. Elle examine les noms (propres ou appropriés) des Personnes et l'intelligence que nous pouvons avoir de la génération éternelle du Fils et de la procession de l'Esprit. Elle décrit les missions visibles et invisibles des Personnes divines. Une dernière partie est consacrée aux traditions grecque et latine sur la procession du Saint Esprit (la question du filioque) et présente le document du 8 septembre 1995 clarifiant officiellement ce point. Nous nous demandons toutefois si l'A. a bien montré le sérieux de la difficulté de nos frères orientaux. Sauf erreur et au delà des querelles mesquines, ce que ceux ci reprochent fondamentalement à la position latine, n'est ce pas d'avoir introduit dans une proclamation de la foi (le Credo) un élément dont il n'est pas sûr qu'il soit révélé et dans lequel ils voient, non sans raison, un theologoumenon, la conclusion d'un raisonnement théologique basé sur la manière latine d'aborder le problème à partir de l'unité de la nature divine? - L. Renwart, S.J.