En tout, quatre-vingt prières (du Pater et du Magnificat à la prière oecuménique pour l'unité), adressées au Père, au Christ, à l'Esprit-Saint (Newman, Jean XXIII…), à la Vierge (Hymne acathiste; Salve Regina, dans la version «cartusienne» vitae dulcedo; Pétrarque; Villon…), à l'ange gardien (un moine anglais du XIIe), à Thérèse d'Avila (Alphonse de Liguori). L'ordre proposé n'est pas toujours chronologique: Thomas d'Aquin précède François d'Assise; Thérèse d'Avila précède Érasme et Ignace. Certaines des plus belles prières sont tirées de l'orthodoxie: Tikhon de Zadonsk, Philarète Drozdov… Parmi les prières protestantes (Kierkegaard, Barth…) retenons celle de Kepler: «J'ai essayé d'annoncer aux hommes la splendeur de tes oeuvres». Il manque un index. - P.-G.D.
En tout, quatre-vingt prières (du Pater et du Magnificat à la prière oecuménique pour l'unité), adressées au Père, au Christ, à l'Esprit-Saint (Newman, Jean XXIII…), à la Vierge (Hymne acathiste; Salve Regina, dans la version «cartusienne» vitae dulcedo; Pétrarque; Villon…), à l'ange gardien (un moine anglais du XIIe), à Thérèse d'Avila (Alphonse de Liguori). L'ordre proposé n'est pas toujours chronologique: Thomas d'Aquin précède François d'Assise; Thérèse d'Avila précède Érasme et Ignace. Certaines des plus belles prières sont tirées de l'orthodoxie: Tikhon de Zadonsk, Philarète Drozdov… Parmi les prières protestantes (Kierkegaard, Barth…) retenons celle de Kepler: «J'ai essayé d'annoncer aux hommes la splendeur de tes oeuvres». Il manque un index. - P.-G.D.