Philologue amateur (il écrit eukaristia, mutature, tolliture…), il fait dériver l'adjectif «pur» de son homonyme grec qui signifie feu (cf. pyromane), ce qui lui permet d'écrire que la religion pure brûle les hérétiques. Il prend l'exégète Pierre Benoît, op, pour un bénédictin. La partie la plus intéressante de son essai consiste dans les très nombreux emprunts qu'il fait à Jean Delumeau. L'ouvrage s'ouvre sur une citation d'Ella Maillart: Tout ce que je raconte c'est du cafouillis superficiel. - P. Detienne sj
Philologue amateur (il écrit eukaristia, mutature, tolliture…), il fait dériver l'adjectif «pur» de son homonyme grec qui signifie feu (cf. pyromane), ce qui lui permet d'écrire que la religion pure brûle les hérétiques. Il prend l'exégète Pierre Benoît, op, pour un bénédictin. La partie la plus intéressante de son essai consiste dans les très nombreux emprunts qu'il fait à Jean Delumeau. L'ouvrage s'ouvre sur une citation d'Ella Maillart: Tout ce que je raconte c'est du cafouillis superficiel. - P. Detienne sj