Quand une enseignante de littérature anglo-saxonne se prend à
analyser les textes de Thérèse, cela donne d'abord Le Phare
lumineux de l'Amour (Téqui, 2006), et maintenant, un voyage, «de
l'extérieur vers l'intérieur» (p. 18), à travers ces poésies
«archétypales» (e. a. PN 13 et 43) où se mire la jeune Carmélite, à
la recherche du Visage très aimé: larmes, regard, sourire voient
Thérèse s'assimiler eucharistiquement à Celui qu'elle enveloppe, à
la manière dont le voile de pourpre et de lin damassé protégeait la
Tente du témoignage… Sans conteste, une lecture artistique. - N.
Hausman scm