On ne sait ce qu'il faut déplorer le plus dans ce fatras
pompeusement titré «recueil»: l'absence de références aux sources
(sans même parler d'approbations ecclésiastiques), l'affirmation
répétée que telle invocation faite selon telle procédure est
infaillible, les inexactitudes (qui font de F. Borgia un
missionnaire, 78; de Benoît le support d'incantations magiques
simili latines, 79…) ou la conclusion, qu'on aimerait qualifier de
débile si la bienséance n'y répugnait. Un ouvrage trompeur, qui
n'honore certes pas son curieux éditeur. - N. Hausman scm