La toma en cuenta de la técnica retórica grecorromana de la paraphrasis entre 1 Co y Santiago conduce a interpretar los pasajes en los que esta última epístola aborda la cuestión de la ley de manera en parte nueva. Esta carta desarrolla una concepción plenamente evangélica de la ley en la que el mandamiento del amor al prójimo ocupa el lugar central y se convierte en criterio de un comportamiento auténticamente cristiano.
L’histoire de l’interprétation de la lettre de Jacques témoigne d’une difficulté à préciser ce que recouvre la notion de « loi » dans cette petite épître. Dès lors, en effet, que l’exégète la compare au discours de Paul, particulièrement en Galates et Romains, il semble qu’elle défend une position bien différente de celle de l’Apôtre. Certains spécialistes ont cru déceler une incompatibilité entre les deux écrivains du Nouveau Testament. Alors que Paul affirme l’impossibilité, pour les « œuvres de la Loi », de produire la justification, la lecture de Jacques a parfois invité à les opposer sur ce point. L’auteur qui se réclame de « Jacques » (Jc 1,1) paraît prendre le contre-pied de l’Apôtre dans la mesure où il souligne l’importance des « œuvres » pour une foi authentique (cf. Jc 2,14-26). Ce constat a pu conduire les commentateurs à…