Se observa una fluidez a veces recíproca entre las Escrituras hebraicas y griegas. Partiendo de Jerónimo que acentuaba el valor de la veritas hebraica, el artículo indaga si el Talmud y la literatura rabínica han podido beneficiar de la aportación de la tradición griega de la Biblia. Se verifica el adagio rabínico: « La Torah habla la lengua de los hombres ».
Préambule
Le Père Jean Radermakers fut, au long de sa longue vie, un homme de foi et de dialogue. Exégète biblique, enseignant, auteur, homme d’écoute, il savait faire circuler la parole des Écritures entre l’Ancien et le Nouveau, découvrant les échos de l’un dans les savoirs et la sagesse de l’autre. Le souvenir de nos cours « à deux voix » les jeudis soir à l’IÉT, il y a de nombreuses années, a été pour moi l’illustration de cette passion pour la Bible dont la vraie sagesse ne pouvait s’appréhender qu’à la lumière de la complémentarité des enseignements herméneutiques de nos deux traditions. Le Père Radermakers, véritable amoureux de l’hébreu et de la tradition rabbinique, fin connaisseur et lecteur du Midrash, du Talmud et des commentateurs juifs, était souvent surnommé, par ses étudiants et amis, « Rabbi Rader ». Avec lui, j’ai alors…