Un observateur, bien placé pour juger le panorama, déclarait en 1900 que le XIXe siècle « n'avait pas été un siècle théologique » et que jusqu'à la création des Facultés catholiques, vers 1880, on n'avait « guère su, en France, ce qu'était un professeur de dogme ». Pareille appréciation peut sembler bien sévère, et il ne serait pas trop malaisé de la contredire. (…)