Contemplar la cruz es atreverse a abordar algunas cuestiones que nos sitúan en el centro del misterio de la salvación, de este misterio de parto a la vida eterna. Pues la cruz no es cosa del pasado, al contrario, permanece presente en nuestras vidas. La pandemia que atravesamos, la revisión de las leyes de bioética, las cuestiones que ponen la teoría de género o las diferentes formas de tecnocracia son una ilustración. ¿Cómo reconocer ahí los gemidos de la creación para ser testigo de la gracia de la salvación?
La grâce de notre baptême nous situe d’emblée à la croix avec Marie et le disciple bien-aimé. C’est parce qu’il se laisse aimer par Jésus, parce qu’il recueille la vie du Christ en lui, que le disciple devient enfant de Dieu et par-là même enfant de Marie. Pour devenir enfant de Dieu, il faut consentir à l’humilité divine, à ce Dieu qui s’abaisse pour rejoindre les profondeurs de notre humanité. Il est bon de contempler comment le Seigneur se laisse porter par une femme vierge, comment il se laisse éduquer par ses parents, abreuver par une samaritaine, toucher par une femme hémorroïsse, interpeller par l’enthousiasme des enfants, émouvoir par la mort d’un ami, comment il se laisse aimer à travers les larmes d’une pécheresse et crucifier par chacun de nous. Le Seigneur ne cesse de prendre chair de l’humanité qu’il rencontre. À la suite de…