Quelques observations s'imposent toutefois à l'examen de cet ouvrage. Il serait bon d'en revoir le texte dont la langue française laisse plus d'une fois à désirer. À maintes reprises, on a utilisé le terme « carmélite » au lieu de carme ou de carmélitain ; on rencontre « platonique » au lieu de platonicien, etc. Certains lecteurs auraient souhaité trouver aussi dans ce livre une mention, avec une très brève notice, des saints et des bienheureux du Carmel non reconnus officiellement. De même, la liste des causes de béatification en cours aurait été la bienvenue. En ce qui concerne St Nuno Álvares, chevalier avant de devenir carme, n'aurait-il pas fallu nous dire s'il avait été « prieur de notre Ordre » comme l'affirme le missel de l'Ordre de Malte au 1er avril ? Toutefois, ce que regrette le plus le lecteur de ce « grand livre » c'est le nombre surprenant des oublis : en sont absents les tertiaires du Carmel St Jean-Paul ii, St Josemaría Escrivá de Balaguer, le Bx Georg Häfner, prêtre allemand martyr à Dachau, Ste Euphrasie du Sacré-Coeur de Jésus, religieuse syro-malabare de la mère du Carmel, la Bse Victoria Diez, martyre en Espagne de l'Institution thérésienne. On n'y trouve pas davantage le Bx Luc de Saint-Joseph et ses 13 compagnons, 4 Bses carmélites missionnaires et la Bse Apollonia du Saint-Sacrement, carmélite de la charité, martyrs en Espagne. A également été oubliée la Bse Marie-Joséphine Catanea, carmélite à Naples. Peut-être même, malgré les vicissitudes de leur vocation, pourrait-on y ajouter Ste Teresa Jornet e Ibara et la Bse Piedad de la Cruz Ortiz Real. - H. Jacobs s.j.
Quelques observations s'imposent toutefois à l'examen de cet ouvrage. Il serait bon d'en revoir le texte dont la langue française laisse plus d'une fois à désirer. À maintes reprises, on a utilisé le terme « carmélite » au lieu de carme ou de carmélitain ; on rencontre « platonique » au lieu de platonicien, etc. Certains lecteurs auraient souhaité trouver aussi dans ce livre une mention, avec une très brève notice, des saints et des bienheureux du Carmel non reconnus officiellement. De même, la liste des causes de béatification en cours aurait été la bienvenue. En ce qui concerne St Nuno Álvares, chevalier avant de devenir carme, n'aurait-il pas fallu nous dire s'il avait été « prieur de notre Ordre » comme l'affirme le missel de l'Ordre de Malte au 1er avril ? Toutefois, ce que regrette le plus le lecteur de ce « grand livre » c'est le nombre surprenant des oublis : en sont absents les tertiaires du Carmel St Jean-Paul ii, St Josemaría Escrivá de Balaguer, le Bx Georg Häfner, prêtre allemand martyr à Dachau, Ste Euphrasie du Sacré-Coeur de Jésus, religieuse syro-malabare de la mère du Carmel, la Bse Victoria Diez, martyre en Espagne de l'Institution thérésienne. On n'y trouve pas davantage le Bx Luc de Saint-Joseph et ses 13 compagnons, 4 Bses carmélites missionnaires et la Bse Apollonia du Saint-Sacrement, carmélite de la charité, martyrs en Espagne. A également été oubliée la Bse Marie-Joséphine Catanea, carmélite à Naples. Peut-être même, malgré les vicissitudes de leur vocation, pourrait-on y ajouter Ste Teresa Jornet e Ibara et la Bse Piedad de la Cruz Ortiz Real. - H. Jacobs s.j.