Le spiritisme, entendu au sens strict de communication volontaire et systématique avec des morts, ne serait plus mauvais ratione sui mais seulement par accident, à raison des circonstances concrètes dans lesquelles on le pratique et des dangers'auxquels il expose aujourd'hui. De toutes manières, il sera bon de serrer d'un peu plus près les différentes hypothèses d'une vie possible dans l'au-delà du tombeau — et de faire, dans l'enseignement de la morale, et même du catéchisme, une part pins large à l'étude et à la critique du spiritisme. Le danger pour les âmes est très réel et ce n'est pas avec des œillères qu'on le supprimera.