En 1991 fut organisé un séminaire consacré à « la mort aujourd’hui » dans le cadre de l’Institut d’études théologiques à Bruxelles. Albert Chapelle y présentait une réflexion sur la mort du point de vue d’une phénoménologie théologique, eu égard au péché, à l’infini, à la miséricorde, à la surabondance de la paternité divine.
À l’heure de l’épidémie causée par le covid-19, notre rapport à la mort est bouleversé. Elle ne se cache plus dans les hôpitaux, elle ne se montre plus dans les églises, et le déni social qui s’était installé autour d’elle fait place au désarroi, alors même que les funérailles en temps de confinement ont empêché l’expression du deuil comme on l’avait connue auaparavant.
En 1991 fut organisé un séminaire consacré à « la mort aujourd’hui » dans le cadre de l’Institut d’études théologiques à Bruxelles. C’était l’occasion de réfléchir sur le moment de la mort, les soins palliatifs et l’euthanasie… On découvrait alors les étapes du mourir selon Elisabeth Kübler-Ross, la dimension métaphysique de la mort était soulignée grâce à la phénoménologie chrétienne. L’éthique était complétée par la liturgie.
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