M.A. montre comment s'approfondit cette intention, d'abord dans la thèse de 1893 (que reçut difficilement l'Université), puis durant les années de polémique avec les universitaires qui y voyaient une foi déguisée et les scolastiques qui y sentaient des relents de modernisme, années qui permirent toutefois à Bl. de préciser son expression, et enfin pendant l'époque plus détendue de la Trilogie et des ouvrages sur le christianisme. Il n'est pas facile, en soixante pages environ, de présenter une pensée importante tout en en respectant les facettes variées. L'A., théologien, a choisi le point de vue de l'apologétique; ce n'est pas exclusif. Son ouvrage, clair, précis, riche de belles citations, a fort bien atteint son but: introduire aux questions théologiques posées à partir de Blondel. - P. Gilbert, S.J.
M.A. montre comment s'approfondit cette intention, d'abord dans la thèse de 1893 (que reçut difficilement l'Université), puis durant les années de polémique avec les universitaires qui y voyaient une foi déguisée et les scolastiques qui y sentaient des relents de modernisme, années qui permirent toutefois à Bl. de préciser son expression, et enfin pendant l'époque plus détendue de la Trilogie et des ouvrages sur le christianisme. Il n'est pas facile, en soixante pages environ, de présenter une pensée importante tout en en respectant les facettes variées. L'A., théologien, a choisi le point de vue de l'apologétique; ce n'est pas exclusif. Son ouvrage, clair, précis, riche de belles citations, a fort bien atteint son but: introduire aux questions théologiques posées à partir de Blondel. - P. Gilbert, S.J.