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¿Por qué la Iglesia debe hablar de la urgencia ecológica?

 

Mahaut Herrmann Johannes Herrmann

La urgencia ecológica ha entrado en una nueva fase : ésta en la que los colapsos ya no son previsiones, ni fenómenos lejanos, sino una realidad mortal vivida ya en los países occidentales, probando que todas sus riquezas y sus medios técnicos no preservan más a estos que a otros países. La Iglesia tiene el deber moral de reaccionar como institución, visible y particularmente examinada, reivindicándose experta en humanidad ; una reacción tanto frente a la sociedad, laica y ya ampliamente no cristiana, como frente a sus propios miembros, en lugar de dejar el tema en la sombra y a la apreciación individual, como si no fuera calcinante.

 

Finalement, ils avaient raison. Depuis 2018 ou 2019, les manifestations de la crise écologique ont brutalement changé de braquet, achevant de confirmer les innombrables alertes des scientifiques. Mégafeux de la Sibérie à l’Australie en passant par la Californie, le Portugal et la France ; températures de plus de 38°C devenues monnaie courante chaque été y compris au nord de Paris ; sécheresse interminable qui pulvérise les rendements agricoles, rivières à sec, coupures d’eau potable. L’an dernier, c’étaient les crues dévastatrices liées aux « gouttes froides ».

I Une calamité faite de main d’homme

De manière moins visible, la crise d’extinction franchit elle aussi de nouveaux paliers : depuis 2016, les scientifiques observent de brutales chutes des populations d’espèces qui, jusque-là, déclinaient progressivement ou même se maintenaient vaille que vaille. Les populations d’insectes, vitales pour la pollinisation, la régulation des ravageurs (notamment des espèces exotiques envahissantes) sont en plein effondrement. C’en est fini du temps des vagues menaces, des lents déclins, des « érosions », des « risques », des « si » ou des « peut-être ». Le chaos écologique est désormais notre quotidien même aux latitudes tempérées (ailleurs, c’était déjà le cas depuis longtemps).

Ce chaos tue. Les chaleurs extrêmes fauchent déjà les SDF, les malades, les travailleurs sur les chantiers. L’agriculture fragilisée ne résistera pas aux pertes de rendements annoncées : on parle de -30%, -40% sur les céréales. Le fourrage va manquer, le cheptel va baisser. Le prix du pain va s’envoler. Cette catastrophe entièrement faite de main d’homme – le consensus scientifique est absolu – décime déjà les petits et les pauvres, littéralement d’un pôle à l’autre. Jamais pareil danger n’a menacé l’humanité. Jamais, en particulier, la France métropolitaine n’a subi de chocs écologiques comme l’enchaînement de ces années brûlantes. Mais si l’époque déchristianisée ne demande plus où est Dieu, n’est-il pas légitime de demander : où sont les chrétiens ? Ne doivent-ils pas parler, et plus encore habiter ces temps de souffrance, comme ils l’ont fait depuis vingt siècles ?

II Laudato Si’, et après ?

Au gré d’échanges et de conversations, numériques ou non, nous avons constaté la prédominance chez les catholiques français d’un point de vue : « Il y a Laudato Si’, cela suffit. » Il ne serait plus nécessaire de répéter le message, encore moins de commenter l’actualité, ni de concrétiser le souci de la Terre et des pauvres autrement que par de réguliers renvois à l’encyclique. Ce serait fait une fois pour toutes. En quelque sorte, nos contemporains auraient déjà, en cette parole prophétique, Moïse et les prophètes : qu’ils les écoutent (Lc 16,29).

Cette position ne nous semble pas conforme à la vocation et à la mission de l’Église1. D’ailleurs, que nous enseigne la fin de la parabole de Lazare et du riche ? « Quelqu’un peut bien ressusciter d’entre les morts, ils ne seront pas convaincus », enchaîne Abraham face au riche damné (Lc 16,31). Et pourtant, le narrateur ne savait-il pas déjà qu’il allait vraiment mourir et ressusciter tout de même, afin que tous croient ? Il n’y a jamais trop de signes, jamais trop de Parole, jamais trop de grain pour le semeur qui n’hésite pas à répandre le grain dans toutes sortes de terrains ingrats sans se décourager.

La mission donnée par le Christ à son Église est rappelée dans la constitution dogmatique sur l’Église du concile Vatican ii Lumen Gentium (1964) :

Aussi l’Église, pourvue des dons de son fondateur, et fidèlement appliquée à garder ses préceptes de charité, d’humilité et d’abnégation, reçoit mission d’annoncer le Royaume du Christ et de Dieu et de l’instaurer dans toutes les nations, formant de ce Royaume le germe et le commencement sur la terre.

(LG 1,5)

Le décret Ad Gentes du même concile Vatican ii (1964) redit les liens entre l’évangélisation et la mission sociale de l’Église. Ces liens découlent de la nature même de l’incarnation du Christ :

L’Église, afin de pouvoir présenter à tous le mystère du salut et la vie apportée par Dieu, doit s’insérer dans tous ces groupes humains du même mouvement dont le Christ lui-même, par son incarnation, s’est lié aux conditions sociales et culturelles déterminées des hommes avec lesquels il a vécu.

(AG 10)

Il s’ensuit que

pour qu’ils puissent donner avec fruit ce témoignage au Christ, [les fidèles] doivent se joindre à ces hommes dans l’estime et la charité, se reconnaître comme des membres du groupe humain dans lequel ils vivent, avoir part à la vie culturelle et sociale au moyen des diverses relations et des diverses affaires humaines.

(AG 11)

L’annonce doit être permanente, à temps et à contretemps, à toute la Création et jusqu’aux extrémités de la terre.

Il nous semble qu’il ressort de Lumen gentium que les évêques ont le devoir d’être présents en temps de crise, d’appeler à prier, de soutenir les fidèles par leur parole et leur présence, et, en cas d’événements exceptionnels ou suffisamment importants pour modifier durablement l’organisation de la société, comme la sécheresse induite par le réchauffement, de prendre la parole pour montrer qu’ils ont conscience des problèmes des temps dans lesquels ils vivent et pour appeler le peuple chrétien à prendre sa part de responsabilité, par la prière et par l’action, quel que soit le niveau de l’action, individuel, collectif, national, supranational.

Lumen gentium 24 écrit, en outre, au sujet de la mission épiscopale :

Les évêques étant successeurs des Apôtres reçoivent du Seigneur, à qui tout pouvoir a été donné dans le ciel et sur la terre, la mission d’enseigner toutes les nations et de prêcher l’Évangile à toute créature, afin que tous les hommes, par la foi, le baptême et l’accomplissement des commandements, obtiennent le salut.

En quoi nous semble-t-il qu’une parole écologique, énergique et sans cesse répétée, de la part notamment de nos évêques, relève de cette annonce de l’Évangile ?

Nous savons maintenant, grâce aux sciences écologiques et climatiques, que la vie sociale et les affaires humaines sont dépendantes des conditions écologiques – climat et biodiversité – dans lesquels vivent les membres des sociétés humaines. Les fidèles chrétiens ne sont pas hors de ces sociétés. Ils ne peuvent donc pas se considérer comme dispensés de s’exprimer sur les affaires écologiques des temps dans lesquels ils vivent puisqu’ils sont affectés par elles et que les personnes auxquelles ils veulent annoncer la Bonne Nouvelle le sont également. Dès lors, point d’annonce de l’Évangile sans souci social, sans prise en compte des questions et enjeux des époques dans lesquelles vivent les différentes générations de fidèles. Et l’on ne peut pas non plus annoncer l’Évangile sans prendre en compte le souci de la Création – et surtout pas au moment où la détérioration écologique en vient à menacer l’existence même de sociétés humaines un minimum prospères dans le monde entier. Laudato Si’ est motivée par l’urgence de répondre au cri de la Terre et des pauvres, et nous rappelle que cette même Terre est pauvre entre tous, car elle n’a même pas de voix. Il y va de notre vocation même de chrétiens, comme le rappelle le pape François :

S’il est vrai que « les déserts extérieurs se multiplient dans notre monde, parce que les déserts intérieurs sont devenus très grands », la crise écologique est un appel à une profonde conversion intérieure. Mais nous devons aussi reconnaître que certains chrétiens, engagés et qui prient, ont l’habitude de se moquer des préoccupations pour l’environnement, avec l’excuse du réalisme et du pragmatisme. D’autres sont passifs, ils ne se décident pas à changer leurs habitudes et ils deviennent incohérents. Ils ont donc besoin d’une conversion écologique, qui implique de laisser jaillir toutes les conséquences de leur rencontre avec Jésus-Christ sur les relations avec le monde qui les entoure. Vivre la vocation de protecteurs de l’œuvre de Dieu est une part essentielle d’une existence vertueuse ; cela n’est pas quelque chose d’optionnel ni un aspect secondaire dans l’expérience chrétienne.

(Laudato Si’ 217)

On le peut encore moins quand la Création brûle, quand les conséquences des coups que lui inflige l’humanité sont visibles et menacent la cohésion sociale.

Nous pouvons aussi citer l’encyclique Veritatis Splendor (1993) :

L’Église a toujours la vive conscience de son devoir, à tout moment, de scruter les signes des temps, et de les interpréter à la lumière de l’Évangile, de telle sorte qu’elle puisse répondre, d’une manière adaptée à chaque génération, aux questions éternelles des hommes sur le sens de la vie présente et future et sur leurs relations réciproques.

(VS 2)

La conscience de ce devoir conduit régulièrement les pasteurs et fidèles, à s’exprimer à contretemps de ce qu’ils pensent être l’opinion majoritaire de la société, notamment quand ils jugent cette opinion mauvaise et néfaste. C’est particulièrement le cas sur les questions de bioéthique. De ces prises de position et mobilisations, d’aucuns ont déduit que le rôle de l’Église, et notamment des évêques, était d’aller systématiquement à contre-courant de la société, de constituer une sorte de contrepoids ou de réaction automatique. De là le rejet de l’écologie, par rejet d’un monde dont les chrétiens ne sauraient être. Or Veritatis Splendor rappelle que l’Église ne peut pas se couper des préoccupations du monde et doit y répondre, que cela fait partie de sa mission. Or quels sont les signes des temps, et quelles sont les réponses adaptées à la génération actuelle ? Une réponse qui ne tient pas compte de la crise écologique est-elle adaptée ? Par exemple, par retour sur l’été 2022, les diocèses peuvent-ils continuer à ne parler de l’été que comme un temps de détente et de ressourcement, alors que la saison de l’été est désormais une saison de canicules, de sécheresse, de manque d’eau, qu’il y a tout lieu de redouter d’innombrables drames humains parmi les agriculteurs, et parmi ceux qu’ils nourrissent ? « Sœur notre mère la Terre » devenue, par la surexploitation sans vergogne et la rapacité de quelques-uns, c’est-à-dire par le péché, incapable de subvenir aux besoins des hommes, n’est-ce pas là un signe des temps par excellence, aussi terrible qu’incontournable ?

Mais quel silence ! Quasi rien, des programmes de retraite dans les centres spirituels en passant par les tweets de clercs médiatiques. De quoi gémir comme le psalmiste : « Moi qui entends chaque jour dire : où est-il, ton Dieu ? » (Ps 41,11).

III L’écologie, simple sujet politisé ?

Actuellement, un certain nombre de catholiques « de la base » sont engagés, comme professionnels, comme bénévoles, ou simplement en cheminement individuel, dans la conversion écologique. Ils hésitent d’ailleurs souvent à « s’afficher » ou même à se laisser identifier comme tels, d’autant plus que les milieux écologistes demeurent globalement plutôt hostiles à toute religion. En témoigne la récente initiative du mouvement Extinction Rebellion de proposer un espace ouvert aux croyants, qui l’a fait sur-le-champ accuser de « s’être transformé en secte » (sic). Mais c’est bien peu. Nous sommes nombreux également à redouter un véritable « rejet de la greffe Laudato Si’ », du haut en bas de la pyramide de l’Église de France. Après ce qu’il faut bien appeler le constat d’échec des travaux de la Conférence des évêques de France, qui n’a pas su s’accorder sur un programme et une déclaration ferme lors de sa dernière assemblée plénière à Lourdes2, on cherche en vain les interpellations des politiques par nos évêques, les manifestations, ou même les prières pour la fin des calamités météorologiques et la conversion écologique des cœurs. Les prises de position, depuis les querelles du maintien des cultes tout au long du « covidocène », se sont cantonnées à des postures très défensives ou aux traditionnels communiqués du registre bioéthique.

Évêques ou fidèles, la plupart des catholiques français, si prompts à trouver mille façons de s’engager contre les projets de lois dites sociétales – et certes on ne peut le leur reprocher – perdent sur-le-champ cette inventivité dès qu’il s’agit de la crise écologique, au point de rétorquer à ceux qui leur en font la remarque : « Mais que voulez-vous que l’on fasse ? » Dans les librairies chrétiennes, les livres sur le sujet restent sur les étals. Plus d’Assises chrétiennes de l’écologie. Peu de mobilisations chrétiennes lors des marches climat et aucun appel d’évêque. Seul semble animé d’un certain dynamisme l’outil « Église verte », mais il reste strictement cantonné aux actions à très courte portée à l’échelle de la paroisse ou de la communauté, sans impliquer nécessairement d’engagement écologique au sein de la cité. Les catholiques français n’habitent ni la crise ni le combat écologiques et semblent ne pas souhaiter le faire. Comme avant 2015, l’écologie est de nouveau régulièrement renvoyée au rang de simple sujet politisé, d’opinion partisane, non chrétienne sinon antichrétienne, faux nez du communisme, etc.

Des réseaux sociaux, des réponses aux quelques tribunes sur le sujet, émane une réticence, voire une angoisse à l’idée de se risquer en pareil terrain… qui pourtant va s’imposer cruellement comme la terre, aride, qu’il nous faudra désormais habiter. Les bouleversements écologiques sont trop nombreux et trop importants pour que l’Église se contente d’appeler à en prendre la mesure lors d’un grand document de discernement préélectoral ou à rythme fixe, lors des assemblées plénières des évêques. La mission des évêques et du peuple de Dieu implique, selon nous, des prises de parole fermes, audibles et nécessaires lorsque les bouleversements surviennent et se font de plus en plus visibles, ainsi que des actes. Jésus-Christ ne nous abandonne pas dans la tempête, mais c’est à nous, aujourd’hui, de faire résonner sa voix.

IV Que pourrait donc faire l’Église de France ?

Quelles sont alors les implications, ou en d’autres termes : que pourrait donc faire l’Église de France et quel en serait le fruit ?

Avant tout des prises de parole d’évêques, afin de signifier à la société désormais non chrétienne que les catholiques entendent bien ne pas rester passifs dans la tourmente. Les tribunes de simples fidèles ne manquent pas, mais elles n’ont en aucun cas la même résonance ; elles n’engagent que leur auteur, jamais une communauté. Elles attestent d’une certaine présence de catholiques au sein du combat écologiste, mais pas d’une présence des catholiques. Le débat public fonctionne ainsi : il faut des prises de parole de figures de proue officielles, de « dirigeants » pour qu’une institution soit vue comme impliquée. L’Église de France à ce jour renvoie l’image d’un cénacle très âgé qui ne se soucie plus tant de ce que vit l’humanité que de survivre vaille que vaille dans son coin, ressassant ses thèmes favoris, bien rodés : bioéthique et liberté de culte ; droit de mener sa vie de son côté, bien loin de tout élan missionnaire. Relever le défi écologique, le prendre à bras le corps, interpeller les choix de société dangereux ou uniques dans ce domaine aussi, voilà un vent nouveau qui serait bienvenu ! L’Église s’oppose à la marchandisation de l’humain ou encore au contrôle des autorités civiles sur le contenu de la foi : ne va-t-elle pas se saisir d’une affaire où la survie même de l’espèce humaine est en jeu ? Elle a su le faire en d’autres temps, quand la menace s’appelait arsenal nucléaire. Rien ne doit la retenir.

Est-ce alors que notre Église, comme le déplorait déjà il y a longtemps, paraît-il, un Père du désert que certains identifient comme Abba Isaïe de Gaza, « n’a plus le courage de ses opinions, non par manque de courage mais par manque d’opinions » ? Qu’elle ne saurait pas vraiment que dire ? Après tant de consultations d’experts, de fructueuses rencontres à Lourdes ou à Rome, on n’ose y croire. Les recommandations des scientifiques sont parfaitement claires et leurs prévisions se sont assez réalisées désormais pour pouvoir être prises au sérieux sans réserve. En ce mois d’août 2022, l’eau potable est coupée ici et là dans les Vosges, en Auvergne, en Corse : est-ce de la politique partisane que de rappeler qu’il faut pouvoir boire pour vivre ? Mettre les responsables face à leurs responsabilités, depuis les plus hauts décideurs, jusqu’au citoyen qui peut agir ou s’engager, pour éviter aux pauvres des souffrances inouïes : est-ce du gauchisme ? Voilà ce que nous attendons de nos évêques : une défense de la vie face à ce qui menace de l’éradiquer, cette crise écologique qui signifie « crise de la capacité de la planète Terre à porter des formes de vie complexes ».

Plus en interne, pourquoi ne pas proposer aux diocèses, aux paroisses, des chemins de prière pour la fin des calamités3 et la conversion des cœurs qui, seule, nous tirera de là ? La prière sera sans aucun doute raillée par les non-croyants.

Ce sera donc un lieu où témoigner de notre espérance : celle que Dieu ne nous abandonne pas, que Son alliance a de l’avenir, que nous croyons à Son aide. Agissons et prions sans nous décourager : rien que cette petite flamme sera un puissant témoignage de la présence du Sauveur, à nos côtés, jusqu’à la fin des temps.

Notes de bas de page

  • 1 Voir notre article « La conversion écologique, une urgence (aussi) théologique », NRT 142 (2020), p. 542-558.

  • 2 Du 5 au 8 avril 2022. La journée consacrée à « l’écologie intégrale », point d’étape du mouvement initié en 2019 pour la mise en œuvre de Laudato Si’ dans les diocèses de France (selon une démarche triennale intitulée « Des fruits et des graines ») a abouti à seulement deux résultats : 1. une proclamation de foi des évêques pour redire comment la dimension d’écologie intégrale se situe au cœur de la vie de l’Église ; 2. la rédaction, en ateliers, d’engagements proposés aux diocèses dans les années à venir, pour continuer à cheminer sur la voie de la conversion écologique.

  • 3 Les formulaires de messe « Pour la vie du monde » peuvent être appropriés à telle ou telle circonstance : « Pour demander la pluie » ; « Pour demander le beau temps » ; « Pour écarter les tempêtes »… Mais il faut reconnaître que peu de liturgies prennent en compte la dimension cosmique du salut chrétien dans le sens du respect de la Terre. Sans doute avons-nous aussi à méditer davantage le mystère de la gloire du Dieu caché lorsque sont entendues les paroles du Sanctus : « le Ciel et la Terre sont remplis de ta gloire ».

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La NRT est une revue trimestrielle publiée par un groupe de professeurs de théologie, sous la responsabilité de la Compagnie de Jésus à Bruxelles.

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