Aunque es evidente que la sinodalidad requiere una reforma, este artículo pone de relieve sus límites. En primer lugar, el Espíritu nunca puede "domesticarse" en las estructuras o leyes eclesiales. Además, el éxito de una reforma depende siempre de lo que no se puede imponer, a saber, las actitudes o los estados de ánimo. Por lo tanto, la reforma del derecho canónico contribuirá a que la Iglesia sea más sinodal si va acompañada de una apertura sostenida a la llamada del Espíritu Santo, que se traduce en un espíritu de escucha activa, de apertura a nuevas perspectivas y de interioridad.
Le Synode 2021-2024 est une grande aventure qui soulève beaucoup de questions. Les attentes qu’il suscite peuvent-elles être satisfaites ? Certaines personnes ont de grands espoirs et veulent « fixer » les problèmes de l’Église. Est-ce réaliste ? D’autres s’énervent, parfois au point de disqualifier violemment le processus et ses protagonistes. Comment peut-on les calmer ? Par beaucoup de personnes, le « Document de travail pour l’étape continentale » a été ressenti comme une bouffée d’air frais : les sujets tabous et les voix marginalisées n’y sont pas disqualifiés ou commodément ignorés, mais inclus dans la conversation. Alors que l’accueil et l’inclusion sont clairement des fruits du processus synodal, d’autres personnes les perçoivent comme une menace pour l’orthodoxie. Comment surmonter de telles tensions ? L’aventure évoque aussi…