Quatre orientations semblent caractériser l'après-concile de Vatican II. En ce qui concerne la conception générale de l'Église: le passage à une communion ecclésiale «ferment spirituel» dans le monde. Lorsque l'on considère les divers rouages ecclésiastiques : un meilleur enracinement de la catholicité, grâce notamment aux Églises locales. Dans les relations avec les non-catholiques: recherche d'un consensus oecuménique, développement des rencontres avec les religions, dialogue entretenu avec les non-croyants. Enfin, en ce qui regarde la relation Église-Société civile la communion ecclésiale «animant» la communauté humaine en devenir du Royaume.