L'expression «Nouvelle Économie» est ici envisagée comme une nouvelle étape de l'ensemble du capitalisme mondial. L'évaluation éthique fait ressortir que les secteurs économiques de pointe, la culture et la biotechnologie, disposent d'un pouvoir de maîtrise direct sur l'homme, grâce aux nouvelles technologies. Dès lors, y poursuivre simplement le profit et la croissance monétaire revient à manipuler l'homme. Par ailleurs, sous l'influence du néo-libéralisme, des inégalités importantes apparaissent dans les trois «piliers» centraux du capitalisme, le travail et l'entreprise, le marché et la propriété.