Dans un pays tel que la Belgique, qui a dépénalisé l’euthanasie, la pression sociale place les équipes d’aumônerie catholique dans une situation délicate : ne doivent-elles pas accompagner le malade jusqu’au bout, c’est-à-dire jusqu’à l’acte euthanasique lui-même ? Prenant une comparaison avec des situations proches (peine de mort et torture), l’auteur répond par la négative, puis il critique l’argument tiré de la Passion du Christ et de sa descente aux enfers.
In un Paese come il Belgio, che ha depenalizzato l'eutanasia, la pressione sociale mette i cappellani cattolici in una situazione delicata: non devono forse accompagnare il malato fino alla fine, cioè fino all'atto eutanasico stesso? Facendo un paragone con situazioni assai vicine (pena di morte e tortura), l'autore risponde in modo negativo, criticando l'argomento derivato dalla Passione di Cristo e dalla sua discesa agli inferi.
